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Différences entre coaching, formation, mentoring, psychothérapie, etc.

Fréquemment les gens me posent la question sur les différences entre Mentoring, Coaching, Psychothérapie, Formation et d’autres approches pour le changement personnel.

Le diagramme ci-dessous essaie de clarifier les différences entre les diverses approches:

De façon, générale n’importe quel coach interviendra dans tous les domaines – et de même feront les mentors, thérapeutes, etc. Par contre, quelques-uns ont développés un style prédominant.

Par exemple, le Coach/Mentor s’oriente vers l’avenir et se concentre sur les changements comportementaux et de l’amélioration de la performance (en bas à droite), mais également sur les compétences et le développement (en haut à droite).

Vous pouvez utiliser ce diagramme pour être clair sur :

  • Votre objectif de l’intervention souhaitée (résoudre le passé / alignement avec la culture d’entreprise / créer le futur)
  • Le genre de changement visé (premier ou deuxième degré)
  • Est-ce que l’intervention vise à s’orienter vers un futur différent ou de s’aligner avec le statut quo ?

Cinq erreurs commises par les coachs

Les_5_erreurs_des_coachsUne communication boiteuse, des méthodes qui ne fonctionnent pas, le sentiment de ne pas être sur la même longueur d’onde et finalement un résultat insatisfaisant. Si tel est le cas il se peut que la relation de confiance entre client et coach n’a pas été établit. Mais il est aussi possible que le coach a commis certaines erreurs qui cumulées, s’avèrent toxiques dans le processus de l’accompagnement. Les erreurs le plus souvent commises par les coachs nous démontrent quelques faiblesses possibles :

Erreur N° 1. Mauvaise préparation

Un grand nombre des coachings risquent de commencer de façon boiteuse si le coach n’est pas bien préparé pour la séance. Un temps précieux est perdu avant même que le processus de coaching n’ait pu commencer. La solution est très simple: 15 à 30 minutes de préparation sont un minimum pour noter quelques questions et ou de se rappeler du sujet de la dernière séance afin de structurer la prochaine et de pouvoir se synchroniser rapidement avec le client.

Erreur N° 2. Manque d’engagement

Si un client annule ou déplace régulièrement une séance, il se peut qu’il soit moins engagé. Est-ce qu’il existe un contrat entre le coach et le client qui stipule les engagements de chacun ? Est-ce qu’il y a eu une clarification de l’objectif du client ?  Un manque d’engagement de la part du client met souvent en question les compétences du coach. Au pire des cas, le coaching n’est pas pris au sérieux par le client et le danger de « tourner en rond » est très présent. Là aussi, la solution est plutôt simple mais demande une certaine discipline de la part du coach : Travailler avec des contrats compréhensibles, donner de façon sélective des devoirs à faire, demander un feed-back et ne pas être trop figer sur l’objectif.  Le but est de créer une relation d’égale à égale.

Erreur N° 3: Mettre les outils techniques en avant

Une relation de coaching se base sur la relation de confiance entre coach et client. Sans cette relation de confiance le client n’aborderait pas certains sujets et un coaching efficace deviendrait tout simplement impossible.  Le client n’est pas là pour qu’il corresponde aux bons outils ou techniques à appliquer sur lui, mais bien le contraire. C’est au coach de savoir quel outil ou technique serait approprié à appliquer concernant le problème du client. Dans un processus de coaching, c’est la personne qui est mise en avant. De ce fait, un coach doit être à l’écoute de son client et considérer les outils et méthodes seulement en tant que moyens, mais ceci demande une certaine expérience.

Erreur N° 4: Manque de flexibilité

Souvent vers la fin de la séance le client arrive à un point ou il désire  continuer. Ceci demande du coach, dans la mesure du possible, de se montrer flexible et de prévoir une zone de tolérance concernant le dépassement du temps prévu, afin de ne pas laisser le client avec un sentiment de frustration.

Erreur N° 5: Sous-estimer les sous objectifs

En tant que coach ne vous contentez pas trop de l’objectif de votre client qui semble clair et précis. Souvent à la clarification approfondie de l’objectif par des questions très précises il s’avère que l’objectif cache un sous-objectif encore plus important que l’objectif initial. Seulement quand vous avez trouvé l’objectif derrière l’objectif vous allez sentir la motivation de votre client et vous pouvez l’aider à accéder à ses ressources.

En résumé: Les erreurs les plus souvent commisses par les coachs ne sont pas très spectaculaires et avec un certain recul facile à détecter. Si vous prenez en considération quelques règles élémentaires vous éviterez la plupart des erreurs et augmenterez en même temps la qualité du coaching. Posez-vous de façon critique la question suivante: Selon votre propre expérience, lesquelles des erreurs mentionnées dans cet article vous sont familière ?

Faut-il se faire accompagner par un intermédiaire lors d’une cession ? Quel est son rôle ?

Vous êtes chef d’entreprise et vous envisagez de céder votre entreprise. Bien entendu, votre premier réflexe est de penser à vos interlocuteurs habituels : votre expert-comptable, votre avocat d’affaire, votre banquier, votre notaire……..

Une cession d’entreprise, c’est une nouvelle aventure…Vous êtes dans une situation qui ressemble fort à celle d’un marcheur de fond, habitué à la randonnée qui prend la décision de passer de la routine à l’exploit : la traversée du Sahara ou bien une escalade en haute montagne . Vous vous documentez, vous en parler à votre entourage…. mais finalement, vous analysez les risques et vous rendez compte que la meilleure solution est de choisir un guide qui vous permettra de réaliser cette traversée sans encombre.

En effet une cession d’entreprise est un projet complexe avec un phasage déterminé qui va dévorer votre temps et votre énergie alors qu’en même temps, il faut maintenir le cap dans l’entreprise, voir limiter et gérer les perturbations probables. Donc mieux vaut avoir à ses cotés, un guide qui va conduire votre dépense d’énergie et amortir les chocs possibles. Mais attention, le guide ne fait pas tout, comme en haute montagne, vous aurez votre part d’efforts à réaliser.

Une autre image s’impose lorsque l’on parle de cession : vous vous préparez à marier votre enfant. Forcément, il est unique : le plus beau, le plus intelligent. Si par hasard, le futur marié se permet d’émettre une critique, elle est irrecevable. De la même façon, pour un dirigeant, son entreprise a tous les charmes. Mais dès qu’elle est à céder, elle devient un produit sur un marché, celui de la reprise d’entreprise. Votre entreprise sera donc comparée à d’autres et les avis émis ne seront probablement pas toujours agréables à entendre.

Alors concrètement, quel doit être l’apport d’un cabinet spécialisé en transmission d’entreprise ?

Vous préparer à cette cession
Anticiper la transmission est un mot-clé. Tous vos interlocuteurs vous le diront…..il faut au moins s’y préparer au minimum deux ans à l’avance.

La transmission d’entreprise est une opération complexe qui revêt des aspects psychologiques, juridiques, fiscaux, sociaux, économiques et humains. En particulier, on trouve, quelque soit les marchés et indépendamment de leur taille, des caractéristiques proches aux entreprises qui se vendent facilement :
– Affaires rentables : le banquier doit pouvoir financer la reprise,
– Bien positionnées sur son marché : maîtrise de la concurrence – Si possible en croissance : le dynamisme la rend attractive, le repreneur est en confiance avec des perspectives d’avenir.
– Equipe structurée : très recherchée par les repreneurs, c’est un gage de réussite, car il pourra s’appuyer sur l’équipe en place.
– Indépendance financière : il est peu motivant de s’endetter pour racheter des dettes.
– Sans immobilier ou avec un immobilier dissocié : à préparer le cas échéant.

La façon de piloter une entreprise pour la transmission nécessite le plus souvent des adaptations qui vont prendre du temps.
Mesurer ses forces et faiblesses permet de les mettre en valeur, de les minimiser ou même d’en faire des points de développements potentiels, c’est aussi justifier à terme d’une valeur en référence avec le marché.

Parler de cette cession :
Bien souvent, vous vous dites que le bon sens serait de céder son entreprise dans les années à venir, et pourtant vous repoussez cette idée à plus tard : êtes-vous vendeur, oui ou non ?
Le principal écueil à votre transmission est peut-être vous-même : parler de sa transmission, c’est accepter l’idée de la cession pour le dirigeant et pour sa famille.
Cette dimension psychologique, vous en souriez …..Et bien pensez à MOULINEX et à M. MANTELET. Une des principales sources d’échec dans les transmissions repose sur cette difficulté des dirigeants à accepter de transmettre lorsqu’il est temps.

L‘intermédiaire, extérieur à votre quotidien, jouera pleinement son rôle en vous aidant :
– A mûrir votre projet. – A construire l’après-cession. – A prendre la distance nécessaire avec l’entreprise : les questions à venir du repreneur peuvent être perturbantes, voir critiques. Il faut s’y préparer : passer de l’affectif à la stricte analyse des faits.

Mettre au point votre projet de cession : Votre entreprise et vous-même êtes prêts à la cession…..nous allons donc passer à la phase concrète de ce « projet de cession », c’est-à-dire :

A – Préparer la stratégie :
Réfléchir ensemble aux cibles de repreneurs possibles. Il est aisé de comprendre que fonction de son profil et de son projet, le repreneur ne recherchera pas les mêmes intérêts dans votre entreprise.
Gagner du temps pour la suite, en travaillant sur la préparation des documents classiques demandés par les repreneurs, et identifier tous les éléments qui pourraient servir de levier à la baisse du prix par l’acquéreur.
Définir vos marges de manœuvre dans la négociation :
tout bon vendeur sait qu’un acte de vente se prépare et qu’il faut prendre en compte le produit dans sa globalité. C’est exactement ce que vous devez faire en réfléchissant aux conditions de vente (les garanties), de service après-vente (l’accompagnement), et aux modalités de paiement.

B – Etablir un dossier de cession clair et honnête:
Il s’agit de produire avec vous un dossier, véritable « mémorandum de vente » qui reflète votre entreprise en balayant tous ses rouages. Ce dossier doit permettre une sélection naturelle des repreneurs. Et n’oubliez pas que si un repreneur achète bien sûr des atouts, sur lesquels il va s’appuyer, il achète aussi les points de faiblesse qui constituent des opportunités de croissance.
Bien entendu, une valeur ou plutôt une fourchette de valeur et son mode de calcul accompagne ce mémorandum. Votre guide attirera votre attention sur le possible écart entre une valeur de référence et le prix de vente qui dépendra d’un ensemble de facteurs internes mais aussi externes.
L’optimisation de la valeur dépendra de la qualité des étapes antérieures du projet.

C –Mettre sur le marché :
Le marché de la transmission est opaque et plutôt inefficace (30% d’entreprises non reprises). Comment faire pour que votre offre rencontre une demande pertinente tout en restant le plus discret possible ? Les intermédiaires connaissent bien les rouages de ce marché caché ; ils connaissent les autres intervenants actifs (banquiers, experts comptables..) et aussi les autres intermédiaires. La confidentialité est préservée dans les réseaux.
Votre guide vous évitera de perdre du temps : Si votre entreprise est attractive, elle va attirer un potentiel important de repreneurs. Contentez-vous de rencontrer les candidats solides aussi bien en terme de compétences que de moyens.

Vous accompagner:
Il y a deux types d’accompagnement dont vous avez besoin, le quotidien au moment de la phase de recherche, et la tension lors de la négociation.

Accompagnement de la phase de recherche : mener un projet et ne pas le voir se concrétiser aussi vite que prévu, est difficile à accepter. Or la vente dans l’urgence ne donne jamais de bons résultats. Le cabinet d’intermédiation est l’interlocuteur privilégié pour vous aider à prendre le temps.

Accompagnement de la négociation :
Bien entendu dans cette phase là, votre expert-comptable, votre avocat d’affaire, vos conseils habituels seront présents amenant leurs compétences indispensables aux questions techniques. Néanmoins une négociation pour la vente de votre entreprise remue votre passé et ces années d’investissement, voire de sacrifice peuvent générer chez vous des blocages. Votre guide va vous servir d’amortisseur.
Une négociation qui s’engage doit avancer dans un temps déterminé. Faire traîner est rarement signe de réussite. Il est important que la phase de négociation ne se prolonge pas inutilement : votre acquéreur est acheteur aujourd’hui mais attention aux évènements extérieurs qui changeraient la donne. Ne faites pas comme ces grands champions qui ne savent pas concrétiser la victoire et porter le coup final.
La encore la préparation antérieure (disponibilité des documents, réponses aux questions, conditions de vente possibles) est un facteur déterminant.

Gérer l’après-vente Vous avez sauté le pas et signé l’acte de cession ….mais tout ne s’arrête pas là. Normalement la transmission s’accompagne d’une période de « passage de relais », passage vital pour l’entreprise et l’équipe. De la qualité de ce passage dépend fortement la réussite de la reprise. Encore une fois, la connaissance que l’intermédiaire a de votre entreprise, de vous même et du repreneur, en font un interlocuteur privilégié, un modérateur, pour vous accompagner à accueillir le nouveau propriétaire.

Alors pour ou contre travailler avec votre intermédiaire ?

A vous de choisir … La transmission d’entreprise est un projet d’avenir qui prend son impulsion dans votre passé.
Pour tourner cette page, une page de votre histoire, qui mélange forcément le rationnel et l’affectif, les intérêts financiers et le management humain…..mieux vaut des partenaires à vos cotés avec un expertise de l’entreprise et de ses rouages, une connaissance des marchés, une maîtrise de la gestion de projet, une appartenance au réseau de la transmission et une composante humaine si précieuse.

Un expert en Transmission d’entreprise

Luc BRZUSTOWSKI (diplômé d’Expertise comptable) est spécialisé dans l’accompagnement opérationnel de dirigeants de TPE et PME ayant un projet à court ou moyen de terme de transmission de leurs entreprises.

 Les secteurs de prédilection sont le commerce, l’artisanat, la sous-traitance industrielle, le négoce et les services B2B.

Les départements de l’Allier, du Puy de Dôme et du Cher forment un premier périmètre de rayonnement géographique.

Les spécificités et les tailles des projets confirment régulièrement l’ouverture hors région Auvergne incluant les régions Paris IDF et Rhône Alpes entre autres.

La valeur ajoutée de Luc BRZUSTOWSKI s’appuie d’abord sur un parcours de plus de 30 ans en cabinet d’Expertise comptable. Les fonctions exercées à savoir, la gestion, les ressources humaines et le conseil sont des atouts pour une compréhension rapide et efficace des enjeux.

Le capital humain fait la richesse de toute entreprise: cette ressource constitue souvent la colonne vertébrale des valeurs adossées à une vraie stratégie. Cet atout vise à trouver des ajustements pour créer de nouvelles ambitions dans une dynamique globale.

Les dossiers de cession et de reprise relèvent  d’une démarche structurée et organisée.

Le projet de transmettre son entreprise tout comme celui de vouloir reprendre une entreprise exigent une forte dose de pragmatisme.

La confidentialité est à ce titre un fil rouge essentiel à préserver.

Luc BRZUSTOWSKI assure l’interface opérationnelle entre cédants et repreneurs dans une configuration résolument qualitative.

Le bouclage des dossiers est mené en lien étroit avec les partenaires choisis par les parties. La précision des informations et la réactivité aident à trouver un accord équilibré, solide et pérenne.

La fluidité dans les échanges d’informations contribue à sacraliser une confiance qui reste une courroie d’efficacité dans tout projet de transmission d’une entreprise.

C’est essentiel de choisir une voie professionnelle pour éviter les vraies fausses pistes, les entrevues chronophages qui ne débouchent sur rien, les désillusions après de mois de recherche infructueuse.

Votre projet de céder ou votre ambition de reprendre une entreprise sont affirmés : parlons-en à votre convenance directe sous couvert de confidentialité pour évoquer vos attentes immédiates.