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ENTREPRENDRE EST BON POUR LA SANTÉ

Des chercheurs l\'université Montpellier penchés causes amènent entrepreneurs considérer bonne santé.

Malgré la surcharge de travail, les risques économiques, le stress et autres facteurs pathogènes, les dirigeants de PME s’estiment en bonne santé. Des chercheurs de l’université de Montpellier ont tenté de comprendre pourquoi.

Mais pourquoi les entrepreneurs sont-ils en bonne santé ? Dans sa publication de décembre, intitulé “Entreprendre, c’est bon pour la santé !”, le Labex Entreprendre de l’Université de Montpellier s’est interrogé sur la “bonne santé” des entrepreneurs et dirigeants de PME/TPE. En effet, selon une étude de l’Inserm datant de 2011,  » espérance de vie à l’âge de 35 ans est au-dessus de celle de la population française”, et d’après un sondage OpinionWay de juin 2015 (OpinionWay), 78% des entrepreneurs considèrent leur état de santé comme “bon” ou “très bon”.

Pourtant, cette image de bonne santé ne correspond pas l’idée que l’on se fait de la qualité de vie d’un entrepreneur. La publication du Labex rappelle d’ailleurs que cinq facteurs pathogènes sont généralement identifiés comme nuisant à leur santé : le stress, l’incertitude des commandes, la solitude, la pression du temps et la surcharge de travail.

En 2011, une étude de la CGPME 77 et l’ARACT montrait ainsi que presque 80% des patrons de TPE et PME “souffraient du stress et de ses conséquences”. Mais “si quelques travaux statistiques existent sur problématiques de santé , leur hétérogénéité ne permet d’en tirer que quelques conclusions éparses”, résument plusieurs chercheurs dans “Santé du dirigeant de PME, stress et sentiment de cohérence : premiers résultats et programme de recherche” (2014).

DES FACTEURS “SALUTOGÈNES”

La “bonne santé” présumée des entrepreneurs reste donc à ce jour une énigme. Les  chercheurs du Labex Entreprendre ont donc décidé d’y voir plus clair en menant des entretiens auprès de plus de 400 dirigeants.

Selon eux, plusieurs facteurs “salutogènes” apparaissent : la satisfaction au travail, le sentiment d’auto-efficacité, l’estime de soi, l’optimisme et le sens de la cohérence. L’ensemble de ces facteurs, qui donnent un “sens” à l’aventure entrepreneuriale et peuvent être sources de motivation, permettraient ainsi de surmonter des pathologies comme le burn-out.

 

SENSIBILISER LES ENTREPRENEURS

Toutefois, les chercheurs de l’université de Montpellier soulignent que “si les hauts sont plus hauts, les bas peuvent être très bas”. Ils rappellent notamment la nécessité de “sensibiliser les entrepreneurs et les dirigeants de PME sur l’importance qu’ils doivent accorder à leur santé”. La publication met en garde contre “l’inexistence d’un service de santé au travail” pour nombre d’entrepreneurs, une exposition accrue aux risques économiques (hypothèque de sa maison par exemple) , et rappelle qu’ils ne disposent pas des mêmes “filets de sécurité” que les salariés.

 

Par Liv Audigane

 

E-santé: les 10 tendances à surveiller

La e-santé a le vent en poupe. En 2015, les entreprises du secteur ont levé 1,5 milliard de dollars, un record pour cette filière en plein développement.

Début 2016, l’écosystème français a vu des acteurs de la MedTech réaliser de spectaculaires levées de fonds, à l’image de MonDocteur qui a levé 12 millions d’euros en février, ou bien de Kyomed qui a levé 3 millions d’euros en janvier.

Quelles sont les tendances à surveiller en matière de e-santé? Eléments de réponse avec l’étude «Healthcare’s Digital Future» de Futurice, société finlandaise spécialisée dans les logiciels.

  • Des patients informés et actifs en ce qui concerne la gestion de leur santé. Pour preuve, au Royaume-Uni, 80% des patients utilisent Internet pour trouver des conseils de santé (selon le European Patients Forum 2015), sans forcément vérifier la validité des informations qu’ils trouvent.
  • Des établissements de santé confrontés à la problématiques de réduction des coûts et de gestion de leurs ressources. Aux Etats-Unis, une étude Accenture de 2015 a par exemple montré que les hôpitaux qui proposent les meilleures «expériences patients» ont des marges 50% supérieures à leurs concurrents.

  • Une offre de prestations de santé en self-service, pour des patients plus autonomes. Un tiers des patients américains admettent en effet être plus honnêtes quant à leurs soucis de santé lorsqu’ils s’adressent à des systèmes automatisés, que face à un médecin, selon une étude Healthy World.

  • A la recherche d’une meilleure expérience. Pour 70,6% des mères américaines, l’aspect pratique est un déterminant essentiel au moment de choisir son prestataire de santé.

  • Vers plus d’innovation ouverte. En favorisant les projets collaboratifs rassemblant professionnels de santé et patients autour d’une problématique, les établissements de santé peuvent améliorer leur compréhension des besoins des patients (notamment ceux atteints de maladies chroniques).

  • La gamification de la prévention. Ludiques et amusants, les jeux permettent de sensibiliser plus efficacement les patients, à l’image du jeu Packy and Marlon destiné aux enfants diabétiques, qui a permis de réduire de 77% les cas d’hospitalisation d’urgence.

  • La collecte de data de santé. Avec un potentiel estimé à 19 millions de dollars en 2018, le marché des wearables est en plein essor. Ces objets connectés permettent de collecter de nombreuses données et donc de prendre des décisions plus avisées en matière de santé.

  • Des outils pratiques, et mobiles. Selon une étude Healthy World, 49% des patients américains sont favorables au fait de recevoir des conseils de santé par mail entre deux visites médicales.

  • Un dossier patient partagé. En considérant que 70% des erreurs de prescriptions pourraient être évitées grâce à un meilleur partage des informations de santé, la question de la mise en place d’un dossier médical partagé est plus que jamais d’actualité.

  • Des interfaces intuitives. La santé étant un domaine sensible et où l’émotionnel est prépondérant, les objets connectés de santé les plus utilisés par les patients sont ceux qui sont simples d’utilisation et intuitifs.

Par Claire Spohr

Je me prends trop la tête: que faire?

63% des jeunes adultes et 52% des quadras sont touchés par l'overthinking, selon les travaux du professeur de psychologie américain Susan Nolen-Hoeksema.

63% des jeunes adultes et 52% des quadras sont touchés par l’overthinking, selon les travaux du professeur de psychologie américain Susan Nolen-Hoeksema.

« J’aurais pu… », « Dans un sens…, mais dans l’autre… « . En cogitation permanente, vous avez l’art de vous compliquer la vie, certain(e) que le pire s’annonce ou est déjà arrivé. Les conseils du coach Brigitte Durruty, pour contrer ces pensées.

« Tu ne te rends pas compte! Moi, ce que je vis au bureau, c’est différent ! ». C’est souvent ainsi que l’individu qui se torture les méninges, apostrophe son entourage. On dit de lui qu’il « coupe les cheveux en quatre », « voit midi à 14 heures » ou se fait « des noeuds au cerveau ». Il est une victime de l’overthinking ou rumination mentale. Un mal qui toucherait 63% des jeunes adultes et 52% des quadras selon les travaux du professeur de psychologie américain Susan Nolen-Hoeksema (1). Les overthinkers se plaignent beaucoup, re-tricotent des idées éparses, brassant le passé et le présent, doutes intimes et angoisses. Jusqu’au-boutistes, crispés sur des détails, ils peinent à nuancer, à renoncer à leurs exigences. Voici quatre situations courantes et des remèdes efficaces.

1. Une surcharge de travail vous déstabilise

« Ca y est, le boss me rajoute des éléments à inclure dans mon rapport ! Où les intégrer ? Je vais être obligé de tous recommencer. Et ce dossier à avancer, j’en fais quoi ? Je vais devoir appeler la nounou… ». Votre organisation professionnelle et personnelle s’effondre. Comment tout caser, puisque les délais, eux, ne bougent pas ? Perfectionniste, vous voulez tout faire bien mais vous refusez d’accepter que tout mener de front est impossible. Vous échafaudez mille et une solutions acrobatiques pour vous en sortir – sans toutefois bouger – et bâtissez une usine à gaz pour parfaire ce fichu rapport.

Que faire? 1/ Imaginez ce que vous diriez à un ami qui vous raconterait être empêtré dans une telle situation. « Ce n’est pas réaliste, tu ne peux pas faire en une heure ce qui est en prend deux ! Ni sacrifier toutes tes soirées. » 2/ Revoyez vos priorités et demandez au patron ce qui est pour lui le plus important ET le plus urgent. 3/ Faites-vous aider.

2. Une décision difficile à prendre vous perturbe

« Jean est un très bon candidat pour cette mission, mais Zoé est bien aussi. Lui, il est malin, réactif, efficace. Elle, elle est rigoureuse, ponctuelle, douée pour les contacts. Ah, j’aimerais bien avoir toutes ces qualités en un seul ! ». Vous vous triturez l’esprit, coincé dans vos hésitations, projetant avec l’un, puis avec l’autre, tous les scenarios possibles d’intégration dans l’équipe et de façon de travailler. Du coup, vous optez pour recevoir un 3ème candidat… et c’est pire. Vous êtes en quête d’un idéal absolu, inatteignable.

Que faire? Prenez un papier et un crayon pour lister, sur 4 colonnes : 1/ Les avantages et les inconvénients à ne pas décider. Exemples, je ne prends pas de risque, je peux éplucher d’autres CV mais je serai réprimandé. 2/ Les avantages et les inconvénients à décider. Exemples, je donne sa chance à un candidat, l’équipe sera vite au complet mais je peux me tromper sur le profil, etc. Prenez 5 à 10 minutes à cet exercice, il vous apaisera. Et vous en serez d’autant plus lucide pour trancher. 3/ Interrogez un non spécialiste de votre métier, par ses questions directes, il simplifiera le sujet.

3. Vous n’osez pas assumer une envie

« J’aimerais bien animer la prochaine réunion, mais si j’interpelle mon chef, il va refuser, me dire que je suis trop jeune dans le service, que je me laisserai déborder, et puis on va se moquer, critiquer… ». Vous faites les questions et les réponses. Et vous tournez en rond, incapable de démarcher votre n+1, en toute simplicité.

Que faire? 1/ Listez, comme au point précédent, les avantages et inconvénients à demander ou à ne pas demander. 2/ Notez vos émotions sur un papier, pour laisser sortir les mots « toupie » qui circulent en boucle dans votre cerveau « Si j’avais su… il faut… ». Vous purgerez ainsi vos peurs, hontes, regrets et agacements divers.

>> LIRE AUSSI. Confiance en soi: comment contrer ces pensées qui vous freinent

4. Une demande obscure vous trouble

Vous recevez le mail d’un gros client. « Je voudrais vous voir de toute urgence demain ! ». Et c’est la boîte à interprétations qui s’ouvre. « S’il écrit ça, c’est qu’il n’est sûrement pas content. Il va nous retirer le chantier. Robert n’est pas à la hauteur. Il a dû lui forcer la main et enjoliver nos prestations. Je savais que je ne pouvais pas compter sur lui. J’aurais dû plus le contrôler. Je vais présenter de plates excuses. Et s’il ne m’écoute pas ? Je serai ridicule ». En trois minutes chrono, vous êtes devenu scénariste, acteur et réalisateur d’un film que vous êtes seul à tourner. Stop !

Que faire? 1/ Fermez le mail et partez faire un tour. Ou passez à une autre tâche, en changeant de contexte vous prendrez du recul. 2/ Relisez le message et restez-en au factuel. Le terme « urgent » ne dit rien de plus que le client est pressé. 3/ Visualisez que vous écoutez votre discours intérieur sur un disque. Les mêmes phrases reviennent « j’aurais dû », « il a encore fait ça… ». Représentez-vous un débit de voix rapide ou lent, un volume tonitruant ou faible. Peu à peu, vous dominerez ces pensées envahissantes.

Par Marie-Madeleine Sève

Êtes-vous en bore out?

“Comment ça tu t’ennuies au travail ? Mais tu as de la chance, profites en, apprends une autre langue, fais des formations en ligne…” Cette discussion vous semble familière ? Elle a provoqué en vous encore plus de solitude et le sentiment d’être incompris(e) ? Vous vivez peut être un épisode de bore out, cet ennui au travail qui vire à la dépression puisque la sous-utilisation de vos capacités intellectuelles vous amène à vous sentir inutile, et à déprécier anormalement votre ego.

Ce phénomène du “bore out”, syndrome d’épuisement professionnel par l’ennui, cause inverse du burn out mais avec les mêmes conséquences, a été clairement mis en évidence en 2007 par deux consultants suisses, Peter Werder et Philippe Rothlin, et commence péniblement à rejoindre la cour des risques psychosociaux.

Quelles sont les causes du bore out ?

Il y a potentiellement plusieurs situations qui peuvent mener au bore out.

– L’activité liée à la fonction peut être en soi ennuyeuse et lassante, comme par exemple un vigile qui doit être constamment attentif aux allers et venues devant un bâtiment et auquel personne ne prête attention.

– Le deuxième cas possible est la surqualification pour un emploi. Le risque doit être pris en compte dès le recrutement car le problème vient souvent d’un écart entre une fiche de poste très théorique dont les missions ont été surévaluées, et la réalité du terrain. Dans ce cas on embauche des personnes à potentiel mais qui ne correspondent pas au besoin réel. “Qui peut le plus, peut le moins” certes mais qui peut plus et doit faire moins va probablement se retrouver confronté (e) à l’ennui et si la situation n’est pas identifiée, elle pourrait même empirer et mener à une situation de bore out. Dans le même ordre d’idée, la mise au placard, c’est-à-dire lorsqu’après une réorganisation un collaborateur se retrouve sans responsabilité voire même sans équipe, peut également avoir pour conséquence le bore out.

– Enfin, dans certains secteurs d’activité, il y a un réel manque de travail. En 2005, une étude menée aux États Unis en interrogeant 10.000 actifs révèle qu’un salarié passe en moyenne deux heures par jour sur des tâches sans rapport avec sa fonction; un tiers d’entre eux évoque comme explication l’absence de tâches attribuées. Les secteurs concernés sont le secteur tertiaire et l’administration publique.

On se rappelle du livre “Absolument dé-bor-dée” de la fonctionnaire connue sous son nom de plume Zoé Shepard, qui avait révélé le fonctionnement de l’administration en pointant du doigt notamment la vacuité du quotidien. Extrait : “Je passe mes trois heures de travail hebdomadaire à pipeauter des notes administratives, bidouiller de vagues rapports, jouer les GO pour délégations étrangères et hocher la tête en réunion. L’essentiel est de réussir à gaspiller son temps en prenant un air important”.

A grands maux grandes responsabilités

Les conséquences du bore out sont les mêmes que dans le cas du burn out : arrêt maladie, traitement adapté, et sont lourdes pour l’entreprise. L’enjeu concerne le manque de reconnaissance de cette nouvelle pathologie du travail. S’ennuyer ? A l’heure où l’on dépasse les 10% de chômage et où l’on a de la chance d’avoir un job et d’être payé ? Comment est-ce possible ? Les a priori sont nombreux ainsi que les jugements, mais le bore out n’est pas de la paresse, bien au contraire; les paresseux ne veulent pas travailler (même s’ils ont du travail) alors que les victimes de bore out aimeraient travailler, mais on ne leur en donne pas la possibilité et la frustration qui en résulte les pousse à l’épuisement nerveux.

Comment éviter le bore out chez ses collaborateurs ? Avant d’arriver à cette situation risquée, il faut pouvoir se donner les moyens de l’identifier. Le manager a son rôle à jouer en étant à l’écoute des signaux faibles : perte d’intérêt, manque d’enthousiasme, apathie, recours excessif aux pauses, sensibilité émotionnelle. Si possible, les mesures nécessaires doivent être prises comme par exemple la réévaluation du poste ou bien la mobilité interne du collaborateur (nouvelles responsabilités). Dans tous les cas c’est bien l’entreprise qui est responsable et qui ne peut absolument pas laisser ses collaborateurs seuls face à cette situation, au risque de les voir payer le prix fort en termes de santé physique et psychologique, et d’employabilité à venir.

Un vélo devant la machine à café

Prendre en compte le bien-être des employés est une priorité dont de plus en plus de patrons se préoccupent. Plusieurs programmes (culturelles, détentes, humoristiques) apparaissent en entreprise. Et si le sport pouvait jouer un rôle pour la santé morale et physique des employés, mais également pour celle de l’entreprise?

On a tous à gagner à faire de l’activité physique, à commencer pour soi-même. Ce n’est plus à prouver, le sport est bon pour la santé. En effet, l’activité physique permet l’élimination de toxines, l’amélioration des capacités cardio-vasculaires et participe à la prévention de certaines pathologies.

Réduire le temps de travail en 2015 est pratiquement impensable, mais réduire le temps de travail pour que les employés puissent faire de l’activité physique, cela apporte une tout autre dimension. Plus de productivité, efficacité au travail, baisse du taux d’absentéisme, moins de stress, moins de rotation de personnel, diminution des coûts d’assurances. Voilà de quoi faire réfléchir patrons, syndicalistes, médecins, hommes politiques, etc.

Le sport, c’est bon pour le travail !

L’activité physique n’est certainement pas la seule et unique solution, mais peut être apportée en complément à des programmes de prévention au sein de l’entreprise, surtout dans la gestion du stress.

En effet, durant l’activité sportive, le cerveau libère certaines hormones (endorphines, dopamine, adrénaline) aux vertus apaisantes et calmantes. Ces hormones jouent un rôle important sur la capacité à faire face aux épreuves, aux problèmes et facilitent la gestion du stress.

L’activité physique permet aussi d’évacuer les tensions. La séance sportive est l’occasion de se défouler autrement, de prendre du recul, afin de mieux gérer ou de régler une situation. Elle est également motrice de cohésion sociale, permettant la cohésion des équipes et améliorant le climat général de l’entreprise. Effectuer une action ensemble pour atteindre un même objectif, s’entraider et s’encourager sont des valeurs véhiculées par le sport et qui permettent de souder un groupe.

La pratique d’un sport aide également à s’affirmer, à prendre confiance en soi, à s’intégrer au sein d’une équipe. De plus, le fait de participer à ce genre de séance favorise les échanges entre les employés.

Ces actions autour de l’activité physique, comme d’autres initiatives liées au bien-être de l’employé, font qu’une entreprise est agréable, productive, en santé et dans laquelle l’employé est prêt à s’investir, à s’impliquer.

Une entreprise en bonne santé

En mettant bout à bout l’ensemble des bienfaits du sport sur la personne et le collectif, nous pouvons en retirer que des bénéfices positifs sur le fonctionnement interne de l’entreprise, l’absentéisme, le nombre et la durée des congés maladie, la productivité et l’efficacité au travail.

De plus, selon Santé Canada, un employé actif (qui pratique au moins une activité physique dans la semaine) est 12% plus productif qu’un employé sédentaire.

Le sport, lié à un programme de prévention, permettra d’associer les notions de performance et de plaisir dans un cadre professionnel, pour une performance et une efficacité constante.

Quant à chacun d’entre nous, miser sur l’activité physique est une nécessité. Nous serons plus efficaces non seulement au travail, mais aussi dans tous les aspects de notre vie. Nous serons surtout en meilleure forme et beaucoup mieux psychologiquement. N’avez-vous pas remarqué que tous problèmes disparaissent après la dépense sportive?

Nous sommes ainsi plus heureux, ce qui contribue grandement à notre qualité de vie!

11 façons d’attirer de l’énergie

 Aujourd’hui je vous propose un article qui vous liste 11 façons de mettre toutes les chances de votre côté pour que la loi d’attraction fonctionne. En effet, agir sur la pensée est une chose, mais si votre environnement est « hostile » ou si votre façon de vivre est plutôt « destructrice » pour votre corps, comment pouvez-vous espérer attirer à vous de bonnes choses et surtout l’objet de vos désirs ?

Cet article a été écrit par Santosh Joshi, traduit par moi même et vous pouvez lire l’original ici : prevent disease


Le stress résulte d’une définition erronée de la vie. Pour la plupart des gens, la vie est synonyme de «Vivre dans une peur quotidienne».

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieLes insécurités et les craintes vous amènent à ignorer les aspects positifs et vous conduisent à une perte de confiance en soi.
Le moyen de sortir de cette spirale négative est de changer votre définition de la vie en  «Vivre en toute liberté chaque jour».
En faisant les bons choix, vous attirez des gens et des possibilitéspositives. Compte tenu de nos agendas chargés, il n’est pas toujours possible de poursuivre une quelconque unique formule de bien-être.
Mais vous pouvez faire de petits changements de diverses formes.
Conférencier,  motivateur et coach de vie, Santosh Joshi donne quelques conseils facilement applicables.

1. Entrez en contact avec votre moi intérieur.

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieMaîtrisez cette technique de méditation est simple.
Vous pouvez le faire tout en voyageant dans un bus, en train ou en avion, ou même au travail.
Et vous n’aurez besoin que de 15 minutes.
Asseyez-vous dans un fauteuil confortable.

– Prenez quelques respirations profondes.
Concentrez -vous sur votre souffle qui entre et sort de votre bouche.
Imaginez que votre corps tout entier, que tous les pores et que chaquecellule respirent.
(Cela permet de tirer de l’énergie cosmique.)

2. Imprégnez vous du pouvoir de la musique

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieLes vibrations sonores remuent notre être intérieur.
Mettez des musiques spirituelles, des hymnes et des chants comme et quand vous le pouvez. 
Ecoutez cette musique tout en travaillant ou en faisant votre jogging; votre esprit n’errera pas alors.

3. Soyez proche de la nature

I11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vienvestissez-vous pour faire de votre zone de vie une zone verte en plantant des arbres.
Essayez de vous inscrire pour faire des promenades en pleine nature de temps en temps.
Sinon, essayez de marcher pieds nus tous les jours pendant 15 minutes dans le parc le plus proche de chez vous.
C’est un moyen simple de se connecter avec la nature.
L’élément terre a la capacité d’absorber toute la négativité.

4. Ayez des couleurs vives autour de vous

La thérapie par les couleurs devient populaire de nos jours. Les couleurs émettent desvibrations qui affectent notre psyché.

Par exemple:  Le jaune donne confiance, le rouge signifie la sécurité, l’orange signifiel’équilibre émotionnel et le bleu améliore la communication et l’intuition.

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieExplorez ses avantages dans la vie quotidienne. Changez vos rideaux, draps de lit, taies d’oreiller, etc avec des couleurs primaires ou avec n’importe quelle couleur qui vous rendent heureux.
Allumez des bougies de couleur claire.
Portez des teintes plus vives.
Choisissez des tenues en fonction de la façon dont vous voulez vous projeter.

5. Embrassez l’amour d’un enfant

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieLes enfants ont une énergie naturelle qui est si dynamique que c’est unebénédiction pour la plupart des adultes d’en faire l’expérience.
Parlez ou partagez les expériences quotidiennes avec un enfant de votre famille et vous vous sentirez bien pour avoir vue votre vie d’une manière très différente.

6. Laissez-vous tenter par une thérapie par le rire

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieIl n’est pas nécessaire d’adhérer à un club du rire, juste essayez d’avoir une bonne crise de rire au moins 10 minutes par jour.
Le rire ouvre les schémas énergétiques bloqués, fait se libérer les hormones du bien-être dans le corps et est même bon pour certains maux et douleurs.
Donc louez vos DVD préférés ou spectacles d’humour et riez à haute voix.

7. Dynamisez votre maison

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieAllumez une bougie chaque matin et soir.
Le feu a la capacité de brûler les énergies négatives. Remplissez votre maison de parfum et d’arômes qui détendent l’esprit.

Essayez d’avoir un plan d’eau.

Ouvrez 
également les fenêtres, le flux d’air enlève les énergies négatives.

8. Soignez votre enfant intérieur

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieChaque personne a un enfant intérieur en lui / elle.
Faites des choses que vous pourrez utiliser comme un enfant – que ce soit de la pâte à modeler,gribouiller ou dessiner avec des crayons ou feutres de couleur ou même sauter dans une flaque d’eau.
Cela vous aide à vous débarrasser des inhibitions et vous aide à explorer de nouveaux domaines de la vie.

9. Appuyez sur les bons points 

Basé sur l’accu-pression, la stimulation des points de pression réduit le stress.
Lors d’un stress, appuyez immédiatement sur les points autour de vos yeux (point utilisé en EFT),  de vos lobes d’oreille et le point situé entre votre nez et les lèvres (point aussi utilisé en EFT).
Ces points ont un lien direct avec les terminaisons nerveuses qui contrôlent les sentiments de malaise

10. Adoptez un mode de vie sain

11 façons d'attirer de l'énergie positive dans votre vieAvoir un bon sommeil, une alimentation saine et faire de l’exercice sont des points sur lesquels on n’insiste pas assez.
Si vous ne pouvez pas en faire une routine, au moins adoptez quelques bonnes pratiques.
C’est comme prévoir un  «jour de fruits»  occasionnellement pour nettoyer le corps, ou de boire suffisamment d’eau pour éliminer les toxines.
Une autre astuce est de compter vos pas pendant la marche, il améliore la concentration.
Enfin, avoir de la gratitude; la gratitude nous remplit d’énergie positive.

11. Réduire le désordre

Habits_Freelancer_Need_To_Ditch_05Nettoyez votre maison, votre poste de travail et même votre voiture.
Plus important encore, effacez-le de votre esprit.
Le désordre crée des blocs dans le flux d’énergie qui est en vous.
Lorsque ces blocs restent longtemps, il se répand sur tout lecorps et l’esprit en vous laissant dans une ambiance toujoursirritable et d’humeur agressive.

11 signes que votre emploi n’est pas fait pour vous

11 signes que votre emploi n'est pas fait pour vous

Nous passons une grande partie de notre vie adulte au travail et, de ce fait, il est beaucoup plus agréable d’occuper un emploi qui nous convient plutôt qu’un ne nous convenant pas.

Cependant, plusieurs d’entre nous ont eu le malheur de prendre le mauvais emploi avec cela peut avoir pour effet plusieurs conséquences fâcheuses (perte de motivation, baisse d’estime personnelle, sentiment de non-accomplissement et d’insatisfaction, etc.).

Dans cet article tiré du site internet careerealism.com, l’auteur nous propose 11 signes nous indiquant que le poste que nous occupons n’est pas pour nous.

Les voici en un survol rapide:

1. Vos objectifs ne sont pas alignés avec ceux de l’entreprise

Lorsque les objectifs pour votre carrière ne sont pas alignés avec ceux de l’entreprise pour laquelle vous travailler, c’est un signe que vous êtes au mauvais endroit. Vos objectifs en tant que professionnel et ce que vous espérez atteindre devraient être alignés sur les objectifs de l’entreprise.

2. Vous êtes découragé d’être vous-même

Vous ne devriez pas être forcé d’être une personne au travail et une autre à la maison. Cette situation est simplement trop pénible. Trouver une entreprise qui valorise vos attributs est important. Rester à un tel endroit n’est pas un bon plan à long terme.

3. La culture de l’entreprise vous rend inconfortable

Vous êtes une personne respectueuse de l’environnement et votre employeur ne se soucie pas du tout de la pollution ou du gaspillage. Ou à l’inverse, vous êtes le genre de personne qui termine son travail à 5 heures tapant, mais la culture est « Celui qui cumule le plus d’heures de bureau, gagne! ». Ce sont des différences qui sont très difficiles à surmonter.

4. Vous ne voyez pas un cheminement de carrière (si vous en voulez un)

Pour plusieurs, l’avancement professionnel est important et pour d’autres, pas vraiment. Alors, si vous voulez une carrière et que votre entreprise ne vous permet pas d’évoluer, ce n’est pas la bonne place pour vous.

5. Votre travail actuel est différent de ce qu’on vous a décrit

Si vos tâches quotidiennes ne correspondent pas du tout ce que l’on vous a présenté lors de l’entrevue, cela peut représenter une énorme déception!

6. « Autres tâches compatibles avec vos fonctions » est l’essentiel de votre travail

Si vous regardez votre description de poste, généralement, les premiers points sont les fonctions principales qui occuperont la majorité de votre temps. Lorsque la majeure partie de votre journée ne reflète aucunement les points mentionnés dans votre description de poste et que vous êtes plutôt dans le mode « Autres tâches », ceci devient un feu rouge clignotant!

7. Votre gestionnaire vous stresse

Si vous redoutez toujours d’avoir une conversation avec votre gestionnaire, vous trouvez que vos épaules sont constamment crispées et tendues, ou si vous avez un mal au ventre à penser à votre prochaine interaction avec votre gestionnaire et que c’est devenu une fixation, il est temps d’explorer de nouvelles options!

8. Vous arrivez au travail plein d’énergie et à l’heure du diner vous êtes épuisé

Lorsque vous travaillez sur vos trucs préférés, cela devrait vous donner de l’énergie. C’est votre zone de confort et d’expertise. Lorsque vous travaillez sur des choses que vous détestez, ça draine votre énergie. Si votre énergie est drainée quotidiennement avant l’heure du diner, c’est que vous faites trop de choses qui vous éreintent et que vous êtes dans le mauvais emploi.

9. Vous dites constamment « Quand ce dossier sera fini, ça va aller mieux »

Le dire une fois, peut-être deux c’est correct. Nous avons tous à traverser des périodes au travail qui sont stressantes et exigeantes, mais quand cela devient la norme, il y a des chances que ce soit l’emploi et non le dossier qui rend votre vie si difficile.

10. Vous vous ennuyez, tout le temps.

Quand vos fonctions et vos responsabilités ne vous permettent plus de relever de défis et qu’après avoir demandé pour de nouvelles choses intéressantes à faire, vous restez catalogué à vos fonctions, il pourrait être le temps pour vous de trouver de nouveaux pâturages plus verts!

11. Vos accomplissements ne sont jamais suffisants

Vous travaillez très dur afin d’atteindre vos objectifs. Vous atteignez vos objectifs et, ce n’est jamais assez pour votre gestionnaire ou votre entreprise, ceci un signe majeur que vous n’êtes peut-être pas au bon poste ou pour la bonne entreprise.

En résumé, rappelez-vous que chaque carrière est temporaire. Lorsque vous avez à surmonter des obstacles, c’est à vous de venir à bout de ceux-ci dans votre compagnie actuelle et avec votre gestionnaire. Si vous n’êtes pas capable de les surmonter, il est peut-être temps et d’allez de l’avant pour trouver un nouvel emploi.

L’art subtil de perdre son temps

C'est pour aujourd'hui ou pour demain ?

Ne remets pas à demain ce que tu peux faire après-demain : ce proverbe détourné sous la plume de l’écrivain et humoriste français Alphonse Allais renferme le précepte essentiel du procrastinateur. Par définition, ce dernier excelle dans l’art de remettre au lendemain, sinon aux calendes grecques, ce qu’il pourrait faire le jour même. Episodiquement pour certains. Systématiquement pour d’autres. Par paresse. Par manque d’enthousiasme ou de conviction. Et même délibérément, parce que chacun sait que l’inaction suscite aussi d’opportunes alternatives et/ou contributions bienfaitrices de tiers. « Ah… tu l’as fait… fallait paaaaaaas ! »

La journée de la procrastination a été lancée le 25 mars 2010 par les éditions Anabet, pour promouvoir la sortie de l’ouvrage Demain, c’est bien aussi, de Kathrin Passig et Sascha Lobo. Depuis, elle est inscrite dans la nuée de celles référencées par le site journee-mondiale.com. Même si sa paternité est également revendiquée par l’éditeur et journaliste David d’Equainville dans son Manifeste du 25 mars contre la tyrannie de l’hyper-urgence (Ed. François Bourin), paru… en 2014. « Et s’il n’est pas entendu… ce sera pour le 25 mars 2015 », avançait l’éditeur visionnaire.

Qui n’a jamais procrastiné lève la main. Et, à défaut de la lever d’ici à demain (ou après-demain), autant la poser sur sa souris et les liens qui suivent. Ce sont tous de judicieux alibis virtuels pour remettre à plus tard le fastidieux dossier en cours ou la lecture de La procrastination, l’art de reporter au lendemain, de John Perry (Marabout, mars 2014).

Notre sélection de liens pour perdre (ou gagner, c’est selon) du temps et faire grimper en flèche son taux de procrastination :

« Pausitiver ». Quitte à procrastiner, autant consacrer ses heures de flânerie à la connaissance. Un alibi en béton armé dispensé par les conférences TED. Le Portail français propose, entre autres, l’intervention de David Grady pour « sauver le monde, ou du moins vous-même, des mauvaises réunions » ou celle de Pico Iyer sur l’art de l’immobilité.

Poudre aux yeux. Pour retarder le moment d’agir, rien de tel que de suivre des yeux ce petit personnage ou cette bille bleue qui ne tiennent pas en place. Surtout qu’en paraissant si concentré, le front plissé, on évite toute intrusion. Un « Ne pas déranger » en vient-il à s’inscrire sur le haut de notre visage ? A prolonger d’une escapade sur Rainy Mood pour le doux bruit de la pluie ou sur Baker Cat et son soporifique bien qu’agité chat pâtissier. Somnolence assurée.

Web-trotteurs. Une fois parcourus de long en large les méandres des réseaux sociaux, les globe-trotteurs virtuels exploreront, de haut en bas, les gratte-ciel les plus hauts du monde et les plans de métro des villes du monde entier. Et combien de contrées encore à visiter par webcams interposées sont à portée de clic sur Earthcam.com et de cartes aux thématiques variées à butiner sur Unecartedumonde.fr ? Pour tout remettre à demain… ou à deux pieds.

Temps forts. Remettre à demain les innombrables taches de sa to-do list n’implique pas de déprécier les sites de données en temps réel : attaques informatiques, vols aériens et trajets ferroviaires, sans oublier les statistiques mondiales chronophages de Worldometers et Planetoscope.

A bout de nerfs. Des baffes qui se perdent ? En attendant de se décider IRL (« dans la vraie vie »), pourquoi ne pas gifler cet homme à l’écran à l’aide d’une anguille ? L’« ichthyophobe » se repliera volontiers sur le film de protection à bulles que ses doigts oisifs éclateront. Un grand classique, décliné en version virtuelle.

Chasse à courts. Les films d’animation, stop-motions et courts-métrages sont légion en ligne. Le site Les-courts-metrages.fr se veut « la crème des crèmes » sur le sujet et, s’il n’est pas exhaustif, permet de tuer plusieurs dizaines d’heures d’affilée.

Coup de pouce. Plus le temps pour rien. Et encore moins pour le perdre. Plus rien qui ne tourne dans le bon sens des aiguilles d’une montre. Procrastinateur, un clic sur cette simplissime touche « OK » finit par tout arranger. Et même à longueur de temps sur Make-everything-ok.com.

Perds-pas-la-boule. Des questions en suspens ? De celles qui ne trouvent pas de réponse ? L’enfantine « boule magique », ou Magic 8 Ball, n’en fera qu’une bouchée. « Posez-vous n’importe quelle question et laissez la boule magique vous répondre », suggère le site Tarmax. Faut-il s’adonner à la procrastination ? Sa réponse est on ne peut plus limpide : « Les astres disent que oui ».

Au bout du rouleau. « Les toilettes furent pendant très longtemps un lieu où la publicité avait du mal à s’installer », explique le site Vivelapub.fr sur lequel on trouvera de quoi s’éterniser. On visionnera ce spot de 1971 dans laquelle un bambin déroule, depuis le lieu d’aisance jusqu’au salon, les mètres du rouleau hygiénique, finissant sa course d’un enthousiaste « Mamaaaaan ». A reproduire, plus ou moins fidèlement, sur le site Papertoilet.

D’inutilité publique. Le site Theuselessweb dirige de manière aléatoire vers des sites inutiles et futiles. Le hasard mène parfois sur cette page colorée où l’on peut dessiner à l’aide de canards jaune citron, à cet écran léché par un assidu Carlin, baveux à souhait ou débouche sur la danse psychédélique d’un ver de terre et sur la chute sans fin d’écrans colorés. Le kitch ne connaît pas la crise et peut s’avérer fantastiquement chronophage.

Comment rester focalisé sur soi-même

Comment rester focalisé sur nos actions sans se laisser perturber, sans peur du jugement d’autrui et du regard des autres

Que nous soyons débutant ou pas, nous appréhendons souvent le regard des autres, leurs appréciations, leurs jugements. Bien sûr cela provient souvent d’un manque de confiance en soi et dès lors il est tellement facile de se laisser envahir voire déstabiliser par les remarques des autres.

Mais nous devons comprendre que cela vient de nous-mêmes au départ. Notre propre perception ou interprétation de la « réalité » génère et attire les remarques négatives, les critiques, les reproches.

Si notre perception se situe dans la peur, dans le mauvais sentiment de soi, ou dans la pensée que nous allons être critiqué quoiqu’on fasse, alors c’est exactement ce qui va se passer car nos pensées et nos émotions nous amènent à vivre notre réalité quotidienne (voir plus bas ce processus créateur).

Lorsque à l’intérieur de nous, nos peurs sont récurrentes, et nos mauvais films répétitifs, alors cela se concrétise …

Alors comment rester zen dans nos actions, comment rester focalisé sur nos actions sans jamais ou presque se laisser perturber par les pré supposés regards inquisiteurs des autres ?

Voici 8 conseils et orientations qui pourront vous aider à retrouver plus de sérénitéet de confiance, qui vous aideront à vous respecter, à respecter ce que vous êtes aujourd’hui.

1) Recentrez-vous sur Vous, sur vos qualités, compétences et sur votre propre expérience même si celle-ci vous paraît faible. Nous avons toujours du bon et du meilleur à donner, alors pourquoi se préoccuper ? …

Prenez quelques instants pour réfléchir à cela et écrivez noir sur blanc ce qui fait de vous un être riche de par vos propres acquis.

Soyez fier de vous ! … Relevez la tête, redressez-vous, prenez une attitude physique qui inspire pour vous la confiance ! …

2) Adoptez une ou plusieurs phrases clés pour vous rassurer du style : « je donne toujours le meilleur de moi-même », « je fais au mieux et tout mon possible », « tout le monde a déjà été débutant », « ce que je connais, d’autres ne le connaissent pas », « j’ai déjà des qualités et des compétences de par ma formation », « je suis un être plein de bonne volonté, donc tout va bien », etc …

3) Voyez à chaque instant le positif de vos actions.

Je vois et je remarque que j’apporte un plus à mon environnement et aux autres même si je débute car ma connaissance est unique. Je suis quelqu’un d’important …

4) Essayez au maximum de prendre plaisir à ce que vous faites.

Il est important ici d’aimer ce que nous faisons pour y trouver du plaisir et avoir un sentiment positif. A défaut je prends le meilleur de chacun de mes « espace-temps » et de ma journée.

5) Appuyez-vous sur votre propre personnalité, vos qualités intrinsèques.

Ayez conscience que vous êtes unique, personne ne vous ressemble et vous ne ressemblez à personne.

Cela fait votre originalité mais aussi votre force.

Soyez vous-même tout simplement.

Pensez à ce qui vous fait différent des autres et à ce que vous pouvez apporter de différent et d’original de par tout simplement votre propre caractère qui fait votre unicité ! …

6) Appuyez-vous sur vos expériences passées qui ont réussi.

Avant toute nouvelle actions, rappelez-vous de ce que vous avez déjà réussi, rappelez-vous de vos « petits comme de vos grands succès » (y compris hors cadre professionnel).

7) Remarquez les regards positifs les approbations positives, les compliments, les remerciements.

Ayez conscience que vous apportez quelque chose de plus aux autres ! … Vous êtes important !

8 ) Au tout début de la journée ou avant un événement important, apprenez à vous relaxer, à vous détendre, puis à visualiser (imaginer) positivement votre journée ou un moment particulier.

Bien démarrer sa journée

Quelle est le meilleur moyen pour démarrer sa journée ?

Tout le monde s’est déjà posé la question. Découvrez la solution à tous vos problèmes, grâce à ces 5 commandements très simples…

Mettez toutes les chances de votre côté pour être d’attaque dès le matin grâce à ces quelques conseils très simples et à la portée de tous.

De l’exercice, tu feras: 

Contrairement aux idées reçues, le sport est plus vitalisant que fatigant. Pratiquer une activité physique dès le matin vous permet de stimuler votre cardio afin de tenir plus facilement toute la journée. Cela vous apporte un regain d’énergie indispensable. Enfin, l’activité physique est également un moyen de combattre le stress de la journée qui s’annonce. – Que faire ? Si vous n’êtes pas fan du jogging matinal ou des abdos dans le salon, vous pouvez promener votre chien ou aller au travail à pied ou à vélo. A chaque problème, sa solution.

Le matin, tu t’organiseras: 

Pourquoi faut-il vous organiser de bon matin ? Tout simplement parce que c’est le moment de la journée le plus propice. Vous êtes encore au calme et plus apte à réfléchir et à organiser votre planning. – Que faire ? Inscrivez les objectifs de la journée avec les réunions importantes, les dossiers à traiter et l’entretien avec le nouveau stagiaire,  etc. Prévoyez lors de cette organisation une pause d’environ 10 minutes après chaque activité, il faut ménager votre santé mentale afin d’être plus opérationnel par la suite. N’en abusez pas non plus, votre patron pourrait vous le faire remarquer.

Un bon petit déjeuner sain et équilibré, tu prendras:

Nous savons tous ce que c’est que de partir le ventre vide au bureau en ne buvant qu’un simple café en guise de petit déjeuner. On ne le répétera jamais assez mais de tous les repas le petit déjeuner est le plus important de la journée car il couvre le quart de nos apports journaliers. Avoir l’estomac remplit dès le matin vous permettra d’être en forme, d’avoir de l’énergie toute la matinée et surtout d’éviter d’être perturbé par les grognements de votre estomac, de plus il contribue à garder la ligne… – Que faire ? Une boisson chaude, un jus, une viennoiserie, un produit laitier, des fruits à croquer. Le secret est dans l’équilibre et la diversité des produits choisis. Evitez tout de même, le gros beignet qui laisse des marques sur le costume.

Ta journée, tu visualiseras:

N’hésitez pas à vous réveiller 15 minutes voire une demi-heure avant que ne sonne le réveil afin de vous préparer tranquillement sans être stressé ou préoccupé. Il n’y a rien de pire que de commencer sa journée en étant à fleur de peau car on s’est préparé dans la précipitation et qu’on a couru pour prendre son train à temps. – Que faire ? Optimisez votre temps. Pendant qu’on se brosse les dents ou dans les transports, on a le temps de visualiser sa journée. Pensez aux bons moments, oui c’est de la pensée positive et ce n’est en rien ridicule, puisque cela peut contribuer à vous mettre de bonne humeur. Se lever du bon pied, ça se joue aussi dans la tête.

Les tâches de ta « to do list », tu effectueras :

Bien que l’on soit déjà bien pris et occupé par notre journée de boulot, il y a toujours un moment où on pense à cette fameuse liste de choses à faire. À force de les repousser, on ne fait qu’empirer la situation. La procrastination, ennemie de tous. – Que faire ? L’astuce est donc de s’en occuper le plus tôt possible et de commencer par la tâche la plus ingrate afin de s’en débarrasser au plus vite: « ce qui est fait n’est plus à faire ».  À la fin de votre journée vous serez plus détendu et vous aurez plus de temps libre à vous consacrer. Vous savez à présent ce qui vous reste à faire pour passer une excellente journée, à vous de jouer maintenant.