Monthly Archives: Mai 2015

Pratiquer un questionnement systémique: les 5 composantes du groupe

o-DECISION-MAKING-TIPS-facebook

Le modèle de management agile a su apporter une nouvelle perspective à l’égard des entreprises, à travers ce concept celles ci ne sont plus considérées comme de simples ensembles mécaniques basés sur un modèle linéaire, prédictif et reproductible, mais plutôt comme des systèmes à part entière reposant cette fois ci sur un modèle évolutif, adaptable et polymorphe.
En ce sens, il semble vraiment profitable pour tout un chacun de se pencher sur ce sujet, pour ce faire la meilleure façon débuter consiste à pratiquer un questionnement/exploration basé sur une approche systémique. La raison ? Se positionner au regard de 5 composantes essentielles et constitutives de groupe qui permettront de comprendre au mieux le fonctionnement actuel de l’entreprise (ou d’un sous système de celle ci), intéressons nous sans plus attendre à ces 5 composantes que sont la vision, la structure, le leadership, les relations, et la production.

Vision/Finalité
La Vision et la finalité sont ce vers quoi le groupe s’oriente, elles constituent le moteur du groupe et en quelque sorte la raison d’être de celui ci, car le groupe existe pour la vision et se réalise par son accomplissement. Ainsi il est logique de comprendre que la vision doit être doit être perçue comme étant commune, partagée par les membres du groupe, chaque membre doit s’assurer d’être en accord avec les réalisations à venir, les objectifs doivent être clairs pour tous et acceptés de tous, se poser les bonnes questions permettra d’assurer et de consolider une homogénéité (primordiale!) à ce niveau.

Structure/organisation/culture
Chaque groupe possède une structure et une organisation qui lui sont propres, et celles ci doivent être réfléchies en fonction de l’orientation du groupe en question, il convient donc de s’interroger sur cette concordance, à savoir, se demander si la répartition des rôles est pertinente, si elle est acceptée de tous ; existe une réelle adéquation entre la répartition des taches, des buts définis par le groupe et la structure ?
La culture quant à elle doit être perçue comme ce qui manifeste un sentiment d’appartenance dans le groupe favorisant ainsi la cohésion de ses membres, en ce sens s’interroger sur les valeurs communes de l’équipe, son langage, l’image véhiculée par celui ci à l’extérieur….

Leadership
Pour que le groupe possède une pleine direction, il faut qu’il soit à même de déterminer le cap à tenir, en ce sens la question du leadership est importante, dès lors il semble judicieux de s’attarder sur un certain nombre de questions permettant d’y voir plus clair, par exemple comment s’effectue la prise de décision, qui est le leader, s’interroger sur les comportements réciproques entre les membres et le leader ; ou bien encore s’interroger sur quel type de leadership mettre en place, déterminer qui est le leader opérationnel, de processus, psychologique…

Relation/ Ambiance
Les relations avec l’environnement extérieur ainsi que les relations en interne se doivent d’être régulées, observées et contrôlées, en ce sens se poser les questions nécessaires, et ce à l’égard de chaque type de relation : quelles sont les attentes des clients, quels sont les partenaires du groupe et quels rapports sont entretenus avec eux ?
Quels sont les concurrents interne ou externe de l’activité du groupe ?
Comment est l’ambiance générale ? Quelles sont les relations entre membres ?
Les relations avec le leader sont elles bonnes ?

Énergie/Engagement/Créativité
Le groupe existe pour produire quelque chose, il est donc très important de contrôler cette production, et en vue d’en optimiser la qualité, il apparait opportun de se poser les bonnes questions à ce sujet, ainsi est ce que le groupe connaît clairement ses objectifs ? La production est elle en accord avec la vision ? Est ce que les objectifs fixés sont remplis ?
L’énergie véhiculée dans le groupe est un des facteurs déterminant de la qualité de sa production, dès lors s’interroger sur la circulation de l’énergie au sein du groupe, ou sur l’innovation (qui ose innover dans le groupe?).

Se poser les bonnes questions à l’égard du groupe par le biais de ces 5 composantes essentielles vous permettra d’établir une analyse pertinente de votre entreprise. En identifiant les problématiques et enjeux, vous avez toutes les clés en main pour apporter des solutions durables à votre groupe, alors à vous de jouer !

Visitez notre site: http://www.metasens.fr/

Top 10 des erreurs de sourcing commises par les recruteurs

Une fois n’est pas coutume, c’est aux erreurs commises par les recruteurs que nous allons nous intéresser! Bon nombre d’articles indiquent aux candidats les bonnes manières à avoir lors d’un entretien d’embauche, les erreurs à ne pas commettre, les « best-practices » pour taper dans l’oeil du recruteur et décrocher son poste. Mais le recruteur doit lui aussi respecter quelques règles! L’entretien d’embauche est un moment clé qui conditionne les relations futures entre l’employeur et le candidat si ce dernier est recruté. Avant, pendant et après cet entretien, il existe quelques étapes clés qu’il ne faut pas bruler ni bacler. Alors, pour éviter aux recruteurs de commettre des erreurs de sourcing, de recruter le mauvais profil et/ou de passer à côté d’un talent, la sociétéResoomay a réalisé une infographie compilant le Top 10 des erreurs de sourcing commises par les recruteurs. Une infographie que vous devez absolument connaitre!

Les 10 erreurs à ne pas commettre lorsqu’on est recruteur:

1- Sélectionner des candidat avec un CV exagérément bon

Il faut toujours se méfier d’un CV qui présente beaucoup d’expériences professionnelles ou des compétences tellement nombreuses qu’on se demande comment on a pu passer à côté de ce profil. Généralement, il y a anguille sous roche. Attention, je ne dis pas que cela n’existe pas! Simplement que ces talents sont tellement rares qu’il est dans l’intérêt du recruteur de gratter la peinture pour voir ce qui se cache sous le CV.

2 – Ne pas vérifier les références du candidats

Suite logique de ce que je viens de vous dire, un recruteur à le droit mais surtout le devoir de vérifier les références du candidat qu’il source (cf: Contrôle de CV: mythe ou réalité?). Vérifier les différentes expériences professionnelles et les diplômes que déclarent avoir le candidat évitera non seulement une perte de temps et fera diminuer le coût du recrutement ainsi que le turnover des salariés en entreprise.

3 – Convoquer à un entretien d’embauche un candidat dont la personnalité ou le tempérament ne colle pas avec le poste

Avant de convoquer un candidat pour un entretien d’embauche, il faut s’assurer de bien avoir cerné sa personnalité. Pour pouvoir en savoir davantage sur le candidat, il suffit de poser quelques questions lors d’un entretien téléphonique. Le recruteur peut aller encore plus loin lui faire passer des tests de personnalité.

4 – Se fier uniquement à l’entretien d’embauche

Certes, l’entretien d’embauche est une étape très importante lors d’un processus de recrutement. Mais il ne doit pas être l’unique facteur de votre décision! Il faut toujours prendre un peu de recul avant et après l’entretien. Il faut se poser les bonnes questions et mettre en perspective tous les propos échangés afin de voir si le candidat a les qualités professionnelles et personnelles qui coïncident avec la vie et le projet de l’entreprise.

5 – Ne pas poser les bonnes questions

Une règle qui coule de source. Si vous avez cerné la personnalité du candidat mais qu’il reste encore quelques zones d’ombres, il faut savoir les dissimiler et s’assurer que le candidat soit suffisamment motivé et capable de remplir sa mission. Eviter les questions plates et poser des question de fond, c’est l’une des clés d’un bon sourcing et d’un bon entretien d’embauche.

6 – Faire appel à un profil sur-qualifié pour le poste

C’est ce qu’on appelle « faire baisser le niveau des diplômes ». Il ne faut pas se voiler la face: un profil ne correspondra jamais à 100% à un poste, même s’il est couvert de diplômes et d’expériences professionnelles! Alors choisir un profil qui est sur-qualifié n’est pas la meilleure des techniques de sourcing.

7 – Ne pas consulter l’ensemble des membres de la cellule recrutement de votre entreprise

Communiquer et échanger avec les décideurs, c’est est vital! Il vaut mieux avoir l’avis de plusieurs personnes concernant le choix d’un candidat. Il faut garder en mémoire qu’une personne recrutée doit contribuer positivement à l’ambiance de l’entreprise et à sa force de travail collective.

8 – Tomber dans la faciliter et succomber au fameux « j’ai besoin de quelqu’un tout de suite »

Il vaut mieux prendre le temps de recruter LA bonne personne plutôt que de se hâter à la tâche et embaucher quelqu’un qui dans 6 mois aura des envies d’ailleurs. Il faut prendre le temps d’analyser les forces en présence dans l’entreprise et définir avec précision le profil nécessaire à combler une lacune de l’entreprise. Prendre trop rapidement une décision peut faire augmenter le turnover des salariés en entreprise et faire croitre la masse salariale. Ces prises de décision sont donc capitales et ont un poids stratégique très important dans la vie d’une entreprise.

9 – Ne pas fournir une description précise du poste proposé

Diffuser une offre d’emploi, c’est le début d’un jeu de séduction entre l’entreprise, le recruteur et le candidat. Il faut donc susciter le désir en donnant le maximum d’informations concernant le poste. En lisant l’offre, le candidat doit pouvoir se dire « je m’y vois déjà! » Une bonne offre d’emploi doit permettre aux profils intéressés de se projeter sur ce poste.

10 – Ne pas donner envie au candidat de rejoindre l’entreprise

Le marché du travail est très tendu et le secteur du recrutement ultra-concurrentiel. Il est donc dans l’intérêt du recruteur de donner envie aux candidats de rejoindre l’entreprise. Cette construction de la marque employeur ne se fait pas en un jour. Alors prenez le temps de bien définir la cible que vous souhaitez viser et faites tout votre possible pour susciter le désir chez les candidats! Avec une bonne dose d’enthousiasme et de créativité, ils se presseront aux portes de votre entreprise!

Comment se passer des banques quand on est une PME

Une nouvelle loi et la technologie actuelle fissurent largement du financement bancaire, notamment grâce au mouvement fintech.

Pendant des décennies, les dirigeants de PME n’avaient que les banques pour se financer. Des acteurs au comportement généralement uniforme et dont les offres se différenciaient par le prix, le bien connu TEG (taux effectif global). Face à cela, le jeu a consisté pendant des décennies à sélectionner la –ou les deux– banques au meilleur discours, au risque de s’enfermer dans des relations de dépendance avec un nombre limité de prêteurs, habitués à dire oui – et non – à l’unisson.

Une erreur de communication, une difficulté passagère, une mauvaise nouvelle, une ambition mal comprise et votre financement se bloquait irrémédiablement. Une expérience tellement fréquente que le taux de recommandation de sa banque par les clients (le Net Promoter Score) n’est pas fameux dans cette industrie perçue comme conservatrice.

Le banquier en tant que tel n’est pas en cause, mais la construction d’un système monolithique a irrémédiablement conduit à un écosystème faussement concurrentiel chassant les mêmes proies avec les mêmes réflexes.

Mouvement fintech

Récemment, l’univers des possibles s’est considérablement élargi avec la banalisation des solutions en quasi fonds propres (dette mezzanine) et surtout avec l’arrivée disruptive des plateformes de prêts ou des solutions d’affacturage nouvelle génération. Avec l’aide d’une nouvelle réglementation et de la technologie, le monopole du financement bancaire est désormais largement fissuré pour le plus grand bénéfice des PME. Et ce, grâce au fameux mouvement fintech qui résonne de San Francisco à Paris en passant – surtout – par Londres. Faut-il toutefois que les entreprises et leurs conseils soient conscients de la révolution qui se joue en ce moment…?

C’est pourtant bien une opportunité sans précédent qui s’ouvre aux TPE et PME. Le législateur français, prenant la mesure du bouleversement en cours, a offert, fin 2014, un cadre réglementaire clair et avant-gardiste pour toute plateforme internet souhaitant faire se rencontrer les épargnants et les entreprises en quête de prêteurs. Aujourd’hui, même les petites entreprises peuvent raisonner comme les grands groupes en allant chercher des financements auprès d’acteurs aux réflexes différents, aux conditions financières et extra-financières variées. Raisonner en logique de portefeuille et panacher leurs financements.

Le coût ne devient plus le seul critère de choix à défaut d’autres variables d’arbitrage. Les entreprises peuvent choisir une dette amortissable ou in fine, choisir en fonction de l’urgence de la demande, arbitrer entre taux et caution ou garantie, préférer des contrats standards à des contrats complexes, choisir des prêteurs avec des appétences au risque différentes… L’Expérience Utilisateur va devenir aussi un critère de choix. L’emprunteur devient – il était temps – un client. Il entre aujourd’hui dans un vrai magasin où le choix existe.

Pensez-y avant d’emprunter. Faites l’inventaire des possibles. Il est temps de changer de réflexe.

Nous n’avons pas besoin de patron

Ancien conseil en stratégie devenu coach, Frédéric Laloux affirme que l’entreprise peut tout à fait se passer de chef. Son livre-manifeste rencontre un succès mondial. Rencontre à Paris.

Image tirée du film "Comment tuer son boss", avec Kevin Spacey et Jason Bateman. (Capture d'écran)
Image tirée du film « Comment tuer son boss », avec Kevin Spacey et Jason Bateman. (Capture d’écran)
Nous avons parlé avec nos tripes. Il est extraordinaire. »

Frédéric Laloux est « coach ». Il conseille des entreprises dans le monde entier, avec un credo pour le moins inattendu : dans une entreprise, un dirigeant, ça ne sert à rien. Son livre « Reinventing Organization » (1), est disponible dans une quinzaine de langues. Jeudi 21 mai, il était l’invité très attendu du Oui Share Festival, grand messe de l’économie participative, qui avait lieu à Paris.

« Arrêtons de porter un masque ! »

Il s’avance sur la scène du Cabaret Sauvage, le chapiteau des jardins de la Villette. La mine bronzée, l’air détendu, il ne parlera que 15 minutes. Trop court, mais pas de stress. Dans le plus grand calme, il balaye d’un revers de manche tout ce que nous connaissons du monde de l’entreprise :

Nous n’avons pas besoin de patron. »

Rires gênés dans la salle. Son constat est sans appel. Un chef n’a « rien d’indispensable ». Aujourd’hui, il croit aux organisations « d’intelligence partagée », basées sur l’écoute et le respect. Derrière lui, un dessin illustre notre système actuel, où un homme, seul, tout en haut d’une pyramide, hurle ses ordres sur de petits salariés accablés. Caricatural, mais efficace.

Plus étonnant encore, Frédérique Laloux affirme :

Les chefs aiment de moins en moins leur rôle « .

Beaucoup souffrent de la pression qu’implique leur statut, et préfèrent partager l’autorité et les responsabilités. Ce ne sont pas des paroles en l’air, puisque le coach travaille à mettre en place ce système sans hiérarchie dans des entreprises. Et les résultats sont selon lui spectaculaires.

« Arrêtons de porter un masque ! », renchérit-il. Le costume et les tenues sobres exigées restreignent notre personnalité. Lorsqu’ils sont eux-mêmes, « les employés apportent une meilleure énergie ». S’habiller normalement, comme un jour de week-end, favoriserait notre créativité.

« Des personnes ont pleuré »

Aujourd’hui, Frédéric Laloux se dit « ému » par le succès que rencontre son livre « Reinventing Organizations« . « Des personnes ont pleuré en le lisant », se désole-t-il, preuve d’une immense souffrance au travail qu’il n’est plus possible d’ignorer. Un lecteur en Ukraine et un autre en Chine ont même décidé de payer de leur propre poche, un traducteur.

Sur scène comme aux journalistes, il aime rappeler que son message n’est pas utopiste. Il ironise :

Je ne suis pas un hippie qui croit que tout le monde est pote et c’est cool . »

Avant d’être coach, Frédéric a travaillé dix ans dans un cabinet de conseil stratégique international. « Soudainement », raconte-t-il, je me suis senti « terriblement fatigué ».

C’est aussi cette expérience qu’il partage avec son lecteur : s’être demandé, un jour, si ça valait le coup, si ça avait un sens, de passer sa vie à travailler. Son objectif, depuis sa reconversion en coach, est de trouver l’organisation la plus saine possible, où les employés pourraient être heureux. Un homme qui nous veut du bien, en somme.

Pia Duvigneau

Sortie en français aux éditions Diateino en octobre 2015.

33 social media groups you should know about

 

Whether you’re a community manager, a social media marketer, a PR pro or a digital strategist, chances are good you could use a sounding board once in a while.

Joining a group of likeminded professionals is a great way to bounce around ideas, ask and answer questions and share industry news and tips.

Luckily, there are lots of communities out there where both new and seasoned pros can go to talk shop and get help—whether your preferred network is Twitter, Facebook, LinkedIn or Google+!

Here’s a list of 30+ of the best groups to check out.

pablo-2

Top Twitter chats

A Twitter chat is where a group of Twitter users meet at a pre-determined time to discuss a certain topic, using a designated hashtag (#) for each tweet contributed. A host or moderator will pose questions (designated with Q1, Q2…) to prompt responses from participants (using A1, A2…) and encourage interaction among the group. Chats typically last an hour.

Imagine a business networking event—but without a dress code and with a keyboard instead of a bar. The same social customs apply—courtesy and respect—and it’s a great way to meet new people with similar interests. There are Twitter chats in almost every industry imaginable. Here are some of the best for marketing and social media.

1. #Cmgrchat

Wednesday at 2pm EST

Founders: Kelly Lux and Jenn Pedde

Tweets per chat: 400+

This chat’s been around since early 2010, and still going stronger than ever. It’s one of the best weekly chats to talk and mingle with other community builders and managers.

2. #Blogchat

Sundays at 9pm EST

Founder: Mack Collier

Tweets per chat: 1500+

This is another chat that’s been going on since the early days. It’s a fantastic chat to discuss the latest trends and get blogging tips.

3. #Custserv

Tuesdays at 9 p.m. EST

Founder: Marsha Collier

Tweets per chat: 1500+

Not just limited to social media, this Twitter chat is great for all things customer service. With a ton of loyal regulars who come back each week, it’s a great way to start building relationships with other customer service pros and get inspired to “wow” your customers on and offline day in and day out.

4. #BrandChat

Wednesdays at 11am EST

Founder: Maria Duron

Tweets per chat: 1000+

This is a great chat for all things branding and digital marketing.

5. #CRChat

Tuesdays at 12pm EST

Founder: ConstellationRG

Tweets per chat: 50+

One of the newer chats out there; it’s a good one if you are interested in enterprise tech, big data, social business and community platforms.

6. #Eventprofs

Tuesdays at 8pm EST and Thursdays at 11am EST

Founder: Adrian Segar

Tweets per chat: 2,000+

Social media works at it’s best when it connects the online offline. This is a great chat to participate in to share event planning tips.

7. #Likeablechat

Tuesdays at 2pm EST 

Founders: Michele Weisman

Tweets per chat: 360+

Started by Likeable Media, a social media agency, this chat is all around social media and digital marketing topics.

8. #Linkedinchat

Tuesdays at 8pm EST 

Founders: Viveka Von Rosen and Martine Hunter

Tweets per chat: 540+

If you are specifically focused on Linkedin, this chat is a great place to go for tips and best practices.

9. #Smallbizchat

Tuesdays at 8pm EST 

Founder: John Sternal and Chrisanne Sternal

Tweets per chat: 500+

While not specifically on social media, this a great chat if you are doing social media or digital marketing for a small business.

10. #SSHour // #SocialEntHour

Mondays at 4pm EST 

Founders: Rachel Miller and Brian Fanzo

Tweets per chat: 150+

Another newer chat; a great one on social business.

11. #CloudTalk

Thursdays at 12pm EST 

Founders: Daniel Newman and Brian Fanzo

Tweets per chat: 600+

This chat is great for those in the cloud computing and Big Data industries.

12. #Cmgrhangout

Fridays at 2pm EST 

Founders: Sherrie Rohde, Dom Garrett and Jonathan Brewer

Tweets per chat: 600+

Part Twitter chat and part Google Hangout on Air, this is another great group for community managers. You can tune into the Google Hangout on Air as well as ask questions on Twitter every Friday at 2pm EST.

13. #AtomicChat

Mondays at 9pm EST 

Founder: Atomic Reach

Tweets per chat: 3,000+

This is a great chat for both content marketers and community managers, as it dovetails nicely into both areas.

14. #BizHeroes

Tuesdays at 2pm EST 

Founder: Paper_li

Tweets per chat: 1,100+

Hosted by @Paper_li, this is another great chat to check out if you specialize in small biz.

15. #GetRealChat

Tuesdays at 9pm EST 

Founder: Pam Moore

Tweets per chat: 750+

Started by Pam Moore, this chat aims to separate itself from the whole host of other social media chats by only focusing on the new and freshest perspectives.

16. #BufferChat

Wednesdays at 12pm EST 

Founder: Buffer

Tweets per chat: 2,500+

I couldn’t write a post all about Twitter chats without mentioning Buffer’s chat. One of the newer chats on the scene, it’s definitely a great one to participate in.

17. #MediaChat

Thursdays at 10pm EST 

Founder: Aaron Kilby

Tweets per chat: 1,800+

This chat focused on the online media side, not-so shockingly from the name.

18. #Pinchat

Wednesdays at 9pm EST

Founder: Kelly Lieberman

 Tweets per chat: 900+ 

The original Twitter chat about Pinterest, this chat shares its passion for Pinterest through discussions of best practices, new uses, tools, personal/professional use and more.

If you choose to get involved with one or even a few of these chats, the folks at Buffer have wrapped up some Twitter chat best practices into one handy list:

10-Tips-for-Twitter-Chats

Top Facebook Groups

Facebook Groups make it easy to connect with specific sets of people, like teammates or coworkers. Groups are dedicated spaces where you can share updates, photos or documents and message other group members, which makes them great for networking as well as sharing.

There’s a ton of conversations happening at just about every hour of the day within these Facebook groups, some of the best ones I’ve found.

19. CMXHub

Group size: 1,500+ members

Started by David Spinks, CMX’s Founder, this Facebook group is the world’s largest, dedicated resource for educating, supporting and empowering community professionals. It’s a great place to meet other community managers, ask questions and share knowledge.

20. Social Fresh West / East

Group size: 500+ members

If you have ever been to a Social Fresh Conference before, you know they create a Facebook group before each of their flagship conferences. Many of these groups have remained fairly active months, if not years, after each conference. It’s a great place to connect with other social media managers and ask questions/share knowledge around social media management and marketing best practices.

21. Social Journalism

Group size: 2,100+ members

If you work in editorial or news media, this group is a must-join. It is a massive community and focuses on all things related to social media in news. Plus, the community moderators make a point to emphasize and enforce all chat is off the record.

22. Secret Team

Group size: 9,200+ members

While certainly not just about social media or community management, this is a great community, founded by Chris Brogan, for any entrepreneur, consultant or freelancer to join. The group only has three main ground rules.

  • You can help others be more successful
  • You’re open to talking about ways to improve yourself.
  • You don’t try to sell the heck out of your fellow teammates.

23. Community Manager, Advocate and Evangelist

Group size: 9,400+ members

This is another great hybrid group for both community and social media managers. You can mingle with other CMs, ask questions and share tips in more closed, focused environment.

24. Social Media Jobs

Group size: 19,000+ members

If you are looking for your next top hire or looking for your next gig, this group is a must-join. The core purpose of this group is to share social media jobs all around the world. However, there is definitely a US biased in this group.

25. Social Media Managers

Group size: 8,000+ members

This group is solely for social media managers to assist each other with questions, share best practices and talk about the latest trends.

26. Dirty Little Social Media Questions

Group size: 300+ members

The whole purpose of this group is provide a safe space to ask any question related to social media. This group os where you can ask any social media questions you’re afraid to ask elsewhere. With safety in mind, all conversations that take place in this group are considered off the record and confidential.

27. Social Media and Wine

Group size: 1,100+ members

Who doesn’t like wine and social media? This is the group for all social media managers who either work in food and wine or are just major foodies. Unlike some other groups mentioned in this post, this group skews very international and especially Australian-centric.

Bonus: Social Media Club

Group size: varies

Chances are if you live in a bigger city, you have a Social Media Club. Many of these clubs have their own local Facebook groups. This can be a great group to join to mingle with other pros in your specific area.

Top Linkedin Groups

linkedin

If Linkedin is more your fancy, here’s a list of a few groups where you can mingle with other social media professionals.

28. Social Media Today

Group size: 140,000+ members

Started in 2008, this one of the most established groups on Linkedin. It’s a great place for social media professionals in all areas to share business tips and discuss the latest trends.

29. Community Managers Group

Group size: 12,000+ members

This is a group for both community and social media managers to talk shop and share tips for how they use social media to engage with their respected communities.

30. Digital Marketing

Group size: 690,000+ members

This group is for any and all digital marketers. It covers everything from social media and PR tips to online advertising and analytics.

Top Google+ Groups

Google Plus

Last but certainly not least, here’s a list of a few Google+ communities where you can mingle with other social media professionals.

Many Google+ communities are quite active as a place to meet and engage with people on topics you’re interested in.

31. Social Media Professionals

Group size: 59,000+ members

This is a great group specifically for social media marketers and digital PR pros to mingle with one another, chat about the latest trends and share interesting campaigns and case studies.

32. B2B Social Media

Group size: 1,800+ members

As it sounds, this is a group for social media managers in the B2B space. It’s specifically focused on sharing actionable tips, resources and campaigns relevant to B2B companies.

33. Google Small Business Community

Group size: 400,000+ members

With more than 350,000 members, this community, which is run by Google, is a goldmine for small business owners looking for tips for how to stand out online. They share a bunch of insider tips and often run AMAs and Hangouts on Air with certified advisors in a variety of topics.

How to get involved

With so many great groups online, it can be hard to decide which ones to join and participate in.  Regardless of which groups you end up participating in, any of the ones mentioned above can give you a significant advantage when it comes to networking with others in your industry, staying on top of industry trends and just having a place to brainstorm and ask for feedback.

Here are a few tips for how to get the most out of the groups that you join:

  • Start small. Choose 2-3 groups total to participate in so you don’t get overwhelmed.
  • Spend 10 minutes about three times per week in each group. That could be reading and “liking a post,” commenting, asking a question, etc.
  • A good ratio to strive for is 80% commenting and/or sharing others’ content to 20% your own stuff. Spending too much time in the group talking about yourself or sharing your own content might not work as well to help you make connections as being interested in others.

Add your favorite chat or group!

There are tons of amazing resources online for social media marketer to meet and learn from other pros. If I missed your favorite spot to ask and answer questions and get involved with the social media community, I’d love to hear about it! Share it below so we can keep making this resource even better for all of us.

Juristes, réalisez votre veille et partagez l’information avec Scoop.it

Juristes, réalisez votre veille et partagez l’information avec Scoop.it

Scoop.it est un outil permettant d’optimiser sa veille et de partager les informations recueillies. Également appelé « outil de curation de contenu », il agrège les informations susceptibles de vous intéresser grâce à des mots-clés judicieusement choisis. Partager les informations relatives à une thématique ciblée contribue à faire valoir votre expertise dans cette thématique.

Qu’est-ce qu’une veille ?

Selon la norme AFNOR, la veille informationnelle se définit comme « l’activité continue en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial, etc., pour en anticiper les évolutions ». Plus simplement, il s’agit de se tenir informé de l’évolution d’un sujet ou d’une thématique. La veille s’effectue sur le long terme, contrairement à la recherche d’informations qui dépend d’un besoin ou d’une demande ponctuels.

Qui veille ? Tout le monde !

Les blogueurs, les professionnels du marketing, du Web, de la communication en ligne sont intéressés par la veille. Mais aussi … Les experts d’un domaine particulier… Les juristes.

Pourquoi veiller ?

La veille informationnelle sur Scoop.it pour s’informer

  • S’informer sur des sujets choisis
  • S’informer et partager sur son journal
  • S’informer en s’abonnant à des journaux créés par d’autres utilisateurs

Utiliser Scoop.it pour sa promotion

  • pour promouvoir une expertise, un savoir-faire
  • pour renforcer son image de marque personnelle

Vous êtes juristes : avocat, notaire, huissier, expert-comptable ?

Organisez très facilement votre veille !

Mettez en place un outil qui se chargera de trouver pour vous les articles qui vous intéressent et qui vous permettra en plus de lespartager sur votre journal et sur vos réseaux sociaux. Grâce à vos mots-clés, Scoop.it cure le Web et vous fait gagner un temps considérable ! L’outil vous apporte automatiquement toute l’information que vous recherchez. Vous n’avez plus qu’à en prendre connaissance et à la partager si vous le souhaitez !

N’hésitez-plus, ouvrez un compte Scoop.it !

  • Ouvrez gratuitement un compte Scoop.it avec votre adresse mail ou en vous connectant via vos identifiants Facebook, Twitter ou Linkedin.
  • Choisissez une thématique ou un sujet, identifiez-le clairement, faîtes en une description pour le rendre attractif et choisissez vos mots-clés.
  • Optimisez votre veille en testant et en faisant évoluer votre compte !

Pyramide inversée et règle des 5W

Pyramide inversée et règle des 5W

Ecrire pour le web ne s’improvise pas… d’autant plus que lorsque le contenu est bien conçu, il permet de se positionner parmi les premiers dans les moteurs de recherche.

La pyramide inversée

Le web ne se lit pas comme un livre… Il doit être fluide, vivant et abordable à un maximum d’internautes tout en étant complet. La pyramide inversée consiste tout simplement à commencer un texte par un chapô de quelques lignes, qui aborde le thème principal de l’article dans sa globalité. Vient ensuite le contenu plus fourni, plus approfondi grâce à la méthode des 5 W et 2 H.

La règle des 5 W 2 H

Why ? What ? Whose ? When ? Who ? How ? How much ?

Pourquoi ? Quoi ? A qui ? Quand ? Qui ? Comment ? Combien ?

Telles sont les questions à se poser avant de se lancer dans la rédaction d’un contenu web. Grâce à elles, l’auteur adapte son texte au lecteur, aborde tous les angles d’un sujet en profondeur. La méthode des 5W 2H correspond aux fondations solides sur lesquelles le rédacteur va s’appuyer pour créer un article de qualité, du point de vue de l’internaute et de Google.

Structure principale et idéale

Plus que jamais, le texte doit avoir un contenu expert pour être visible sur Google, Yahoo, Bing… Mais il doit aussi être structuré :

  • Titre avec balise title et balise h1
  • Chapô
  • 1er paragraphe avec sous-titre et balise h2 ou h3, contenant les 5 W
  • 2ème paragraphe contenant les 2 H avec sous-titre et balise h2 ou h3
  • Autre contenu pertinent et nécessaire à l’information de l’internaute…

Des règles à relativiser

S’il est recommandé de séparer les 5 W et les 2 H dans deux paragraphes distincts, la réussite d’un contenu éditorial dépend aussi de la clarté des informations, de leur organisation, de la logique de leur articulation. Aucun texte ne sera pénalisé par Google sous prétexte qu’il ne respecte pas la règle de la pyramide inversée au doigt et à l’œil !

L’internaute a besoin de textes :

  • aux paragraphes courts
  • aérés (sous-titre, caractère gras, italique…)
  • avec une image éloquente ou d’autres illustrations
  • avec des termes précis, des explications concrètes, des exemples…

En résumé : écrire pour le web demande quelques techniques (pyramide inversée, 5 W, balises hn, …) mais aussi du bon sens : privilégiez le confort et la qualité de lecture.

Êtes-vous incollable à propos du téléchargement légal, illégal ?

Êtes-vous incollable à propos du téléchargement légal, illégal ?

Parmi les nombreuses questions que se posent les internautes et les professionnels du web, celle du téléchargement revient souvent au premier plan.

Qu’entend-on par « téléchargement » ?

Peut-être avez-vous déjà téléchargé illégalement… sans le savoir ! Télécharger est devenu un geste automatique : mises à jour de logiciel, images trouvées dans Google Images pour vos fonds d’écran… Comment savoir si ces pratiques sont légales ?

Rappelons que le téléchargement concerne l’action de transférer un fichier sur votre ordinateur (ou tout autre support multimédia), quelle que soit sa nature :

  • Texte (fichier documents sous Word, PDF et tout autre format, édité en ligne ou sur papier)
  • Image (photo, logo…)
  • Vidéo (film, clip, tutoriel)
  • Audio (chanson, livre audio…)
  • Logiciel, système d’exploitation…

Le téléchargement peut être payant ou gratuit, légal ou illégal : dans tous les cas, il demande le respect de règles (droit du web).

Téléchargement légal…

Le principe repose sur les droits d’auteur : tout contenu relevant de la propriété intellectuelle, ne peut être téléchargé sans l’autorisation de son créateur original. Certains développeurs mettent à disposition des logiciels gratuits : ils ont autorisé le partage de fichiers dont ils sont l’auteur. L’internaute peut donc en disposer librement.

Selon l’article L335 du code de la propriété intellectuelle, utiliser un contenu créé par quelqu’un d’autre que soi-même, doit faire l’objet d’une autorisation, sauf pour les œuvres dont l’auteur est décédé depuis plus de 70 ans.

… ou illégal ?

Qu’en est-il des fichiers images accessibles à tous sur le web ? Ils ont été créés par un photographe ou graphiste, qui en détient la propriété : vous n’avez pas le droit de les utiliser, à moins que celles-ci soient classées « libres de droit ». Dans Google Images,  vous pouvez effectivement filtrer votre recherche pour ne voir apparaître que les images autorisées au téléchargement, gratuitement. Sinon, vous avez l’obligation de contacter le site ou la personne propriétaire (webmaster, photographe, développeur…).

Astuce légale pour vos fichiers images : l’image est essentielle pour le charme d’un site, pour la réalisation de dossiers, de plaquettes… Il existe des sites qui permettent le téléchargement libre d’images.

Les responsabilités du site hébergeur et de l’internaute

Un webmaster ne peut évidemment pas proposer au téléchargement des fichiers dont il n’est pas l’auteur, ou dont il ne dispose pas les droits d’auteur. Toute personne qui édite un site doit être en mesure de prouver qu’il est le créateur original ou qu’il possède les droits d’auteur.

Quant à l’internaute, même s’il télécharge un contenu légalement, il ne peut pas en faire usage autrement que dans le cercle privé : il lui est interdit de les revendre par exemple.

Le téléchargement légal, c’est avant tout le respect du travail des auteurs.

FEI et Bpifrance : 420 millions d’euros pour les PME-ETI innovantes

Deux outils de financement garantis par le Fonds européen d’investissement seront accessibles aux entreprises françaises innovantes à compter du 15 mai.

FEI et Bpifrance : 420 millions d'euros pour les PME-ETI innovantes

Le Fonds européen d’investissement (FEI) et Bpifrance viennent de signer un accord visant à accroître le montant des prêts alloués aux PME et ETI françaises innovantes. Un accord qui permettra à la banque publique d’investissement d’aider ces entreprises à hauteur de 420 millions d’euros sur deux ans. Il s’agit de la première opération financière en Europe à bénéficier d’une garantie européenne dans le cadre du Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS).

Bpifrance a mis en place deux nouveaux outils destinés à octroyer des prêts aux entreprises innovantes. Ils bénéficient de la garantie du FEI et concernent deux segments clés présentant une forte exposition au risque :

– un Prêt innovation (PI) doté d’une capacité de financement de 320 millions d’euros et d’une garantie à hauteur de 50 %. Il vise à  » faciliter le lancement industriel et la mise sur le marché d’innovations pour des tickets compris allant jusqu’à 5 millions d’euros  » et concernent les entreprises de moins de 500 salariés

– un Prêt amorçage investissement (PAI), doté d’une enveloppe de 100 millions d’euros et garanti à hauteur de 40 %. Il doit permettre de  » renforcer la structure financière des jeunes entreprises qui réalisent une levée de fonds auprès d’investisseurs avisés, et de les accompagner dans leur développement en leur apportant un financement complémentaire jusqu’à 500 000 euros « . Les EBITDA négatifs sont acceptés assure NIcolas dufourcq, président de Bpifrance.

Le PI et le PAI seront accessibles aux entreprises françaises depuis 15 mai 2015.

5 raisons de dématérialiser le conseil d’administration

Efficacité, économies de temps et d’argent, optimisation de la communication, sécurité et RSE : la piste du conseil d’administration « virtuel » cumule les avantages selon le prestataire Equity.

Les conseils d’administration exigent d’envoyer en amont un grand nombre de documents aux administrateurs : procès-verbaux, résolutions…

Face à cette exigence, des impératifs d’efficacité, de productivité et surtout de sécurité. Equity, dont la solution Leading Boards aide à dématérialiser les conseils d’administration, met une plateforme web à disposition des entreprises sur laquelle peuvent être déposés tous les documents nécessaires, que les administrateurs peuvent ensuite consulter sur une tablette grâce à une application sécurisée. Un outil accessible dès 5000 euros par an.